LAPO : trinquer à sa peau, boire à sa lumière

Chez LAPO, on ne consulte pas, on s’invite. Pas besoin de rendez-vous, pas besoin de solennité : on pousse la porte comme on entre dans un bar raffiné, par curiosité ou par soif de confiance. Ici, la carte ne propose pas de cocktails sucrés mais des élixirs d’expertise, dosés par un trio familial : Catherine, passionnée de beauté, Marion et son mari Philippe, tous deux médecins visionnaires. Trois sensibilités, une seule vocation : sculpter l’éclat sans jamais travestir le naturel.

LAPO n’est pas né d’un calcul marketing, mais d’un rêve transmis de mère en fille. Catherine, Marion et Philippe signent un lieu où l’art, la science et le bien-être se tiennent par la main. La scénographie pastel, ultra-girly, transforme la clinique en boudoir onirique : dragée, nude, rose tendre — chaque détail respire la créativité. Et pour le lancement, l’artiste Asa Ariyoshi a imaginé quatre illustrations exclusives, comme des fresques liquides qui décorent ce laboratoire d’élégance.

Philippe, Catherine et Marion — une famille unie par la même passion : sculpter l’éclat avec science, style et sensibilité (c) LAPO

Dans ce “bar à peau”, chaque soin se déguste. Le Botox pétille comme une bulle fine qui détend sans griser, l’acide hyaluronique coule comme une encre claire qui comble les silences entre deux sourires, la mésothérapie nourrit comme un shot de vitamines servi pile à temps. Les peelings, eux, décantent : ils clarifient le teint comme on clarifie un vin. Et pour prolonger l’expérience, une gamme de soins à emporter — dont des pépites coréennes — comme on repart d’un bar à vins avec sa bouteille préférée.

Un bar à confiance aux airs de candy shop : turquoise tendre, tables dragées et soins à shopper comme des pépites (c) LAPO

Entre deux soins, le sourire retrouve ses pleins feux, les cheveux leur densité grâce à des diagnostics pointus (Hairmetrix, Visia). LAPO, c’est l’anti-blouse blanche : un espace où l’on soigne la peau comme on soigne une scénographie, avec la même attention, le même goût du détail.

Parce que le trend se boit aussi en gorgées vertes, LAPO s’associe à ses voisins du Melrose Kitchen : un latte matcha à la main, une dose d’éclat dans la peau! Dans la tasse, les antioxydants du thé ; sous l’épiderme, les boosters lumineux. Même partition, même promesse : que le soin et le plaisir s’accordent à chaque gorgée. LAPO célèbre le naturel, Melrose désaltère l’esprit — deux façons de cultiver un éclat commun.

Miroir ondulé et fauteuil immaculé — ici, chaque détail parle la langue du design autant que celle de la peau (c) LAPO

LAPO, c’est un bar à confiance — pas de cocktails sucrés qui enivrent d’illusions, mais des breuvages subtils qui nourrissent la peau et désaltèrent l’âme. On y boit de la lumière LED comme un shot d’énergie, on s’y enivre d’acide hyaluronique comme d’un élixir clair qui comble les verres vides entre les rides. Ici, la beauté ne s’impose pas, elle s’infuse. On ne change pas de visage, on change de lumière. Un bar où l’on trinque à soi-même, avec style.

La scéno elle-même se met au diapason de l’esthétique légère et joyeuse (c) LAPO

LAPO

Rue de la Mairie 7, 1207 Genève

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