La Malle aux Baisers de Louis Vuitton

Louis Vuitton ne lance pas une ligne de maquillage : il largue une bombe de désir. Avec La Beauté Louis Vuitton, la maison qui a porté les trésors de Garbo, les robes royales et les songes d’André Leon Talley, scelle aujourd’hui un butin plus intime : vos lèvres.

Voici la Lipstick Trunk : une malle-monument, quatre étages de tentations, cinquante-cinq rouges et dix baumes comme autant de humeurs capturées. C’est un coffre de voyage, mais au lieu de soies et de velours, il abrite des éclats de peau, des éclairs de passion, des promesses de baisers. Pat McGrath, légende vivante de la beauté — artiste, entrepreneure et visionnaire ayant redéfini les codes, porté le glamour au rang d’art, et imposé une nouvelle ère d’inclusivité et d’audace — en est l’architecte. Son favori ? Vuittonite, un nude mat comme une plage au soleil couchant, un adieu d’été figé sur les lèvres.

La Lipstick Trunk : une cathédrale de désir, 55 nuances rangées comme des soldats de séduction (c) DR

Chaque tube, rechargeable, gravé de la fleur Vuitton, devient talisman. Le beurre de karité et l’acide hyaluronique ne sont plus des ingrédients, mais des philtres : ils hydratent, ils ensorcellent, ils prolongent l’instant. Devant le miroir intégré à la malle, on n’applique pas un rouge, on endosse un rôle, on sculpte une aura.

Une malle miniature comme un autel nomade : cinq rouges en procession, prêts à embraser la journée (C) DR

Louis Vuitton a toujours fabriqué des malles pour les trésors des puissants. Aujourd’hui, c’est une malle à baisers, une valise d’ivresse, un atelier nomade de séduction. Et pour celles qui voyagent léger, il existe aussi la version minimaliste : une pochette pour un seul rouge — un secret à glisser dans la poche, une arme à portée de main.

Un regard incandescent, une bouche en suspens : Pat McGrath fait du visage une toile en feu (c) DR

 

 

Louis Vuitton Genève
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