Ascot : jet, hélico & apesanteur

Le Sikorsky S-76 au-dessus de Londres ©DR

Il y a des voyages qui vous transportent. Et puis il y a ceux qui vous élèvent. Le Royal Ascot avec Flexjet relève de cette deuxième catégorie : une partition aérienne où l’élégance est un mode de propulsion, et le prestige, une destination. Depuis le tarmac de Genève jusqu’aux pelouses impeccablement dessinées de l’hippodrome royal à Londres, chaque détail frôle l’excellence, chaque instant tutoie l’exception. Un vol privé, un ciel sans turbulences, des flûtes en altitude et des regards déjà tournés vers les cimes du style. 

Récit d’une odyssée ciselée, entre coiffes allurées, pur-sang racés et effervescence — qu’on n’est pas près d’oublier.

Flexjet, l’art du prélude
Tout commence à Genève, où l’on embarque non pas à bord d’un avion, mais d’une promesse. Celle d’une parenthèse rare, signée Flexjet. Entre jets d’exception, intérieurs LXi Cabin taillés comme des salons d’ambassade qui flirtent avec les nuages, le voyage devient un art de vivre. À Londres, l’expérience se prolonge avec l’hôtel Emory, écrin confidentiel du groupe Maybourne avec lequel Flexjet prolonge l’enchantement avec la possibilité d’être héliporté jusqu’à sa suite en frôlant les toits de la capitale avant un atterrissage feutré. 

Ascot, rendez-vous racé
C’est le lendemain que pour nous le ballet débute à Battersea. À bord du Sikorsky S-76, l’hélicoptère signature de Flexjet, Londres défile en contrebas comme un diorama royal. Quinze minutes suffisent pour transformer la capital anglaise en carte postale, et notre réalité en cinéma grand écran. À l’atterrissage, une coupe de champagne nous attend sur l’héliport du Royal Ascot. Rideau levé.

L’héliport du Royal Ascot dans le Berkshire ©DR

Là, chaque détail est un hommage à la tradition : les chapeaux sont des œuvres, les tenues des armures de soie, les flûtes de champagne des sceptres éphémères. Le déjeuner se prend dans l’enceinte royale, avec vue sur le green impeccablement tondu, avant que la procession de la famille Windsor n’ajoute son lot de frissons d’apparat. Puis les courses s’enchaînent comme des coups de théâtre : Queen Anne Stakes, Coventry Stakes, King Charles III Stakes… les chevaux filent comme des météores, les tribunes vibrent d’élégance contenue, d’adrénaline canalisée. On visite le paddock entre murmures et applaudissements feutrés, la journée déroule ses fastes comme un roman victorien revisité par Dior. À 16h15, retour vers l’héliport, la tête pleine d’images, les talons un peu plus légers.

La course hippique super fancy de Royal Ascot ©DR

Retour en altitude
Le vol retour au-dessus de Londres a des allures de générique. Ce n’est plus une ville qu’on survole, c’est un souvenir qu’on redessine. Le soir, de retour à l’Emory, les conversations prolongent la magie entre deux gorgées de gin, les yeux encore accrochés aux images de la journée. Le lendemain, l’escapade se termine comme elle a commencé : avec douceur, précision et hauteur de vue. Direction Northolt Airfield pour embarquer dans le jet Praetor 600, bijou aérien de Flexjet, direction Paris Le Bourget, puis Genève. Atterrissage à 14h35. Retour à la réalité ? Pas tout à fait.

Le jet Praetor 600 de Flexjet ©DR

Flexjet, l’allié des envolées élégantes
Car derrière la fluidité de ce ballet aérien, il y a Flexjet. Visionnaire du ciel, horloger du détail. De ses jets à la ligne racée à ses hélicoptères élégamment silencieux, chaque segment du voyage est pensé, optimisé, sublimé. Red Label, équipages dédiés, engagement environnemental (300 % des émissions compensées, certifications 4AIR Silver), le tout porté par une ambition claire : redéfinir l’aviation d’affaires en Europe avec style, conscience et précision. Un mot de Ben Bewsey, Directeur Général Europe de FLEXJET résume l’intention : « Flexjet n’est pas une compagnie aérienne. C’est une maison de voyage sur-mesure. » Et il suffit d’un week-end comme celui-ci pour le croire dur comme fer.

Le conseil chic pour Ascot : maîtriser l’art de l’apparat sans faux pas
Ascot, ce n’est pas un défilé, c’est un décorum. Ici, chaque détail compte. Le chapeau ne doit pas être grand, il doit être juste. Les talons doivent frôler l’herbe, pas s’y enfoncer. L’élégance est une discipline, pas une démonstration. Misez sur la grâce plutôt que sur la surenchère. Une robe structurée, une veste parfaitement coupée, un accessoire signature suffisent à faire mouche. Et surtout : restez vous-même… mais en version Windsor.

La parade des coiffes du Royal Ascot ©DR

Plus d’informations sur www.flexjet.com
et sur Instagram @FlexjetInc