Angles Mecaline: même allure, autre âme

Quartz hier, mécanique aujourd’hui : la montre iconique de Beda’a garde la même peau mais change de souffle. Une révolution intime, invisible à l’œil, mais vibrante au poignet.

Un dessin inchangé, un pouls nouveau
Angles, c’est un visage géométrique taillé comme une étoile, un boîtier en strates qui attrape la lumière. Quinze mois de patience pour que ce corps reste intact, malgré la greffe d’un cœur vivant. 0,7 millimètre à peine, comme une cicatrice invisible.

Un rituel retrouvé
Exit la pile, bonjour le geste. Remonter sa montre, c’est remonter le temps. Tourner la couronne, c’est réveiller la mécanique, sentir l’énergie passer de la main à l’acier. Un lien intime, oublié de beaucoup, retrouvé par les puristes.

La petite seconde, souffle visible
À 6 heures, elle danse. Minuscule, mais essentielle : preuve que la montre vit, qu’elle respire. Un détail qui suffit à la distinguer de son aînée quartz, et qui signe son entrée dans le club des initiés.

La pureté du vide
Noir abyssal ou gris taupe, cadran lisse comme un miroir, sans index, sans fioritures. Rien ne vient troubler le face-à-face, sinon cette petite seconde qui pulse comme un battement discret.

Unisexe, universelle, intemporelle
À 37 mm, l’Angles Mecaline transcende les genres et les modes. Ni limitée ni élitiste, elle s’installe dans la collection comme une évidence, un équilibre entre profondeur horlogère et port quotidien.